La peinture d’HARRYS se découvre lentement, très lentement… et offre le spectacle d’un monde étrange débordant de vie. L‘humanité dans sa beauté la plus crue mais aussi dans sa noirceur la plus profonde s’y exhibe sans pudeur.
A grands coups de couteau, HARRYS sculpte les corps et magnifie les âmes. Des êtres insolents et libres prennent vie. Pris sur le vif, ils vous regardent, vous scrutent, grimacent et gesticulent parfois jusqu’à la caricature grand-guignolesque comme s’ils se moquaient d’eux-mêmes.
HARRYS fait partie de ces peintres iconoclastes qui ne laissent pas indifférent. Son regard ironique sur l’existence, sur la société et ses mécanismes, sur ces vagues incessantes de délire collectif dans lequel notre monde contemporain s’automutile questionne le spectateur et le confronte à ses certitudes. Son univers aigre-doux oscille entre impertinence et tendresse, fureur et sensualité.
Décadence visuelle d’un univers chromatique flamboyant, la peinture d’HARRYS, non dénuée d’humour, est une invitation pour un voyage de chair au cœur de l’humain !